Fin de la nouvelle de Pierre Mille. Première partie à retrouver ici et deuxième partie ici. 3. Henny, après sa visite chez Pafot, rentra chez lui. La porte, faite de madriers assemblés grossièrement, mais solide, affermie de lourdes traverses, était fixée la nuit, où en cas de nécessité, par une forte barre de bois ; le jour, close d’un nœud de corde : il n’y avait plus de serrures, c’était de l’ouvrage trop savant même pour le fier forgeron. Henny défit le nœud… Ce logis avait dû être une demeure assezContinuer la lecture « Dans trois cents ans — Pierre Mille (3) »

Suite de la nouvelle de Pierre Mille. Première partie à retrouver ici. 2. Henny, pour regagner sa demeure, longea les fortifications du bourg. Tous les villages, maintenant, était fortifiés, d’une façon rudimentaire, mais qui les rendait capables de résister à un coup de main pratiqué par des cavaliers, ce qui, par bonheur, était le cas le plus souvent. Mais ces villages, qui avaient diminué de nombre, étaient d’autre part plus populeux qu’auparavant, les plus petits, les moins susceptibles par leur position de résister à uneContinuer la lecture « Dans trois cents ans — Pierre Mille (2) »

« Dans trois cents ans » Nouvelle inédite par Pierre Mille Publication originale : Les oeuvres libres, n° 7, janvier 1922 Aucune réédition ne semble avoir été faite en français, en revanche la nouvelle figure dans le recueil 13 French Science-Fiction Stories, anthologie de Damon Knight sous le titre « After Three Hundred Years », éditions Bantam, n°2817, 1965 1. … Henny ne s’expliquait pas très bien ce que c’était que cette barre d’acier ou de fer, toute rouillée, rectangulaire, avec de singuliers bourrelets des deux côtés, en bas etContinuer la lecture « Dans trois cents ans — Pierre Mille (1) »